J’ai découvert les visages, les portraits, les couleurs et leurs ombres rebelles dans les peintures d’Anne Sophie Tschiegg par hasard, comme souvent quand on se promène sur le web, au détour d’une publication, d’une phrase sur un sac.
Puis j’ai aimé ses autoportraits, le mouvement, le déguisement, l’énergie derrière le masque – ou l’inverse, à vous de voir – et ce qu’elle raconte et ce qui nait dans son atelier.
Merci à Marie-Laure Dagoit, éditrice, pour le lien (et vous avez de la chance, elle lui consacre également un coffret).