Oh ! C’est une joie de travailler sur la maquette et le bon à tirer. Ce fameux bat, en vue de la publication de Presqu’îl-e, la pièce, aux éditions Quartett. Relire, relire et puis se concentrer sur la ponctuation, sur les accords, puis sur la mise en page. C’est un métier correctrice-correcteur !! Mais c’est très agréable aussi de prendre ce temps, de lâcher (un peu) le texte, le contenu, pour observer sa forme.
Et plein de questions sur l’aspect visuel du dialogue : est-ce qu’on peut justifier ceci ou cela, ici ou là ? Comment inscrire les didascalies ? Comment gérer les césures, que je n’aime pas particulièrement ? (C’est toujours un peu moche, un peu bancal je trouve).
Imprimer la couverture au maximum de mon imprimante qui n’aime qu’assez peu l’été, et qui sèche (je suppose) et crachouille des lignes dans l’image un peu partout. Et continuer à scruter et annoter chaque petite chose de la composition.
Lire, en bonne place, le nom d’Arnaud Maïsetti, qui connait le texte et la lecture performée, depuis la Mousson d’été de 2023, avec qui j’avais longuement échangé alors, et qui m’a fait l’honneur d’accepter ma demande de préface.
Affaire à suivre, jusqu’à la parution en octobre prochain : )
