pauline sauveur

questionner les liens entre corps et espace(s)

lire en forêt ou juste à côté

lire aux tous petits, venus en équipe (et 2 poussettes 4 places) de la maison des assistantes maternelles du village, lire quelques minutes les poèmes de rivière, de forêt, de lit dans la chambre d’enfant, de fleurs de genet et de bouleau à ma taille, lire les micro-histoires du Cœur du caramel. Lever les yeux et voir leur attention, une curiosité et de toute façon un régal d’être là sous les arbres. On a poursuivi l’expérience avec des fleurs de pissenlit et des pignes (pommes de pin) miniatures.

Et la fois suivante, lire en classe, à presque toutes les classes de l’école, tous assis sur les mini chaises de maternelle, puis discuter et les écouter donner leur impression, leur interprétation de ces histoires de poissons rouge et d’enfance dans la forêt (qui résonne tout particulièrement depuis que je viens en résidence à Parenthèse, avec toute l’experte organisation de Ce qui nous lie).